The Zomatix Grooves !!!
The concept is simple. To compose one
of these it took me aproximately a minute, drums included, perfection
isn't the goal, spontaneity is, so sorry for all the klonks and other horrors.
My favorites are in big.
A filmed sample (QT 3.0) of number 114. Topped by a delirium
(QT 3.0).
Starting with number 256, the grooves get more complicated, actually
one recording was made with two grooves recorded in parallel (I jump from
one sample to the other while recording) but played serially (one after the other).
Between 275 and 280 (included), my bass was hospitalized, time to take
an old chunk to play (a customized headless Washburn Bantam). From 281,
the plastic surgeon tremoloed (a nice Kahler tremolo bridge) the bass
body of my Warwick.
Finally, everything stops after 52 weeks (the 23rd of february 1997) to let place to some other experiments online (Zand ô Matic Songs).
The constraints, we always need some, where : a real time loop sampler
MIDI synchronizable and layerable (Lexicon's JamMan), an effects box for those sounds (Korg's A2), a wah
to scream in despair ;-) (Boss' PW1), a drum machine to consolidate (Roland's R8) and last but not
least a single bass (Warwick 4 strings, 105 85 65 45). The picture of the gear.
Aha, except for the first one, where there is a aha.
The monsters who gave me the this bass hunch... are Roger 'Genius' Nelson, Darryl 'Maestro' Jones, Les 'Wooeey' Claypool, Jaco
'Big' Pastorius, John 'Wiz' Scofield.
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Les Zomatix Grooves !!!
Le concept est simple. Pour composer l'un de ces
machins cela m'a pris environ une minute tout compris, la perfection n'est
pas le but mais la spontanéité, sorry pour les arythmies
et autres horreurs.
Mes favoris de la semaine sont en grand.
Un exemple filmé(QT 3.0) du numéro 114. Un delirium par
dessus (QT 3.0).
A partir du number 256, les grooves deviennent plus compliqués,
un enregistrement est alors composé de deux boucles enregistrées
en parallèle (je passe de l'une à l'autre pendant l'enregistrement)
mais jouées en série (à la suite).
Entre le 275 et 280 (compris), ma basse étant chez le luthier,
ce fut une vieille chute qui me servit d'instrument (une Washburn
Bantam customisée et sans tête). A partir du 281, un trémolo (Kahler)
agrémente ma chérubine (Warwick)
de retour de chez le plasticien.
Pour finir, l'expérience en ligne s'achève après 52 semaines (le 23 février 1997) laissant la place pour d'autres (Zand ô Matic Songs).
Les contraintes, car il en faut, étaient : un sampler
temps réel (Lexicon JamMan) permettant de boucler un son, de le sychroniser en MIDI,
et de superposer des couches, un multi effet (Korg A2) pour accéder à
une variété de sons, un wah (Boss PW1) pour crier au désespoir
;-) , une bar (Roland R8) pour cimenter le tout et surtout une seule et unique basse
(Warwick 4 cordes, 105 85 65 45). La photo du matos .
Aha sauf le premier, où il y a un aha.
Ces monstres qui me donnèrent l'envie de jouer de la basse... sont
Roger Nelson par son génie, Darryl Jones par sa maîtrise,
Les Claypool par sa folie, Jaco Pastorius par sa grandeur, John
Scofield
par son talent. |
